C'est la foire aux questions ici !
Questions générales
Pourquoi composter ?
Composter vos déchets organiques permet d’alléger votre poubelle : c’est pratique, et écologique car sinon, ils sont incinérés avec le autres déchets. Cela permet de valoriser une ressource : la matière organique devrait toujours revenir à la nature et ainsi perpétuer le cycle.
Mes amis et ma famille vont-ils se moquer de moi ?
En partant du principe qu’ils vous aiment, ils ne devraient pas se moquer. D’autant plus que : 1. Ce n’est pas gentil et 2. C’est vous qui avez raison. Si toutefois cela devait arriver, n’hésitez pas à nous faire part de vos soucis et nous serons ravis de vous proposer des parades qui mettront tout le monde d’accord (ou presque).
Quelle est la différence entre compost et lombricompost ?
Composter est un terme général qui inclut différentes méthodes. Le lombricompost est produit par des vers spécifiques, Eisenia fœtida en général mais aussi Eisenia Hortensis et Dendrobaena veneta. Cette pratique est particulièrement adaptée pour une utilisation domestique, en intérieur ou non. Dans la plupart des composteurs de grande taille que l’on peut installer dans un jardin, les vers viennent spontanément et sont donc tout aussi présents et actifs que dans un lombricomposteur.
Est-on obligé d’avoir des vers ?
OUI ! Dans le pot de fleurs composteur, c’est indispensable car c’est un lombricomposteur. Ce processus permet un compostage intégral de vos déchets, et le compost qui en sort est utilisable en l’état : il ressemble à du terreau, sauf qu’il est plus riche en nutriments.
Franchement, est-ce que ça pue ?
Non, le lombricompostage ne dégage pas de mauvaises odeurs. Respectez bien la liste des choses à mettre et à proscrire, sans oublier d’apporter de la matière sèche très régulièrement. Une petite note «sous-bois» pourrait même s’en dégager ! Bouchon fermé, dans tous les cas, aucune odeur c’est garanti !
Est-ce que c’est sale ?
Non, ce n’est pas sale. Il faut garder néanmoins une pointe de bon sens. Lavez toujours vos mains et celles de vos enfants après avoir manipulé le compost.
Que faire du compost ?
Le lombricompost est le meilleur fertilisant naturel de tous les temps. Si vous utilisez votre pot de façon quotidienne, vous devrez faire des récoltes régulières, tous les 3 à 6 mois (il faut observer la maturité du compost). La première récolte et en général à faire au bout de 6 à 8 mois le temps de roder la bête. Vous pouvez l’utiliser comme ajout de terre dans la partie pot de fleurs (vous constaterez que le niveau de terre côté pot de fleurs baisse au cours du temps).
Vous pouvez aussi en faire profiter toutes les plantes de votre maisonnée, celles de vos voisins, les arbres de votre cour ou de la rue. Au pire, conservez-le dans un sac pour les générations futures qui [comme dans Waterworld] s’entretueront pour un peu de terre.
Questions sur les plantes à installer
Quelle(s) plante peut-on installer dans un pot de fleurs composteur ?
Nous proposons quelques idées dans notre guide d’utilisation mais il n’y a pas de liste exhaustive, c’est à chacun de faire son expérience en fonction de ses envies, du positionnement de son pot en intérieur ou extérieur et de son exposition. Il faut simplement se renseigner sur les plantes avant de les installer : par exemple, la plupart des aromatiques ont du mal à vivre longtemps en intérieur sans lampe.
Puis-je utiliser mon pot sans y installer une plante ?
Si vous installez du terreau dans la partie plantes, vous pouvez mettre en route le lombricomposteur. La plante n’est pas indispensable au fonctionnement du pot de fleurs composteur.
Puis-je installer une plante sans utiliser la partie composteur ?
Bien-sûr ! Prenez le temps qu’il vous faut pour mettre en route le lombricomposteur, il faut être réactif pour recevoir les vers et être prêt à tout installer donc pas de stress une fois que la plante est installée, vous avez tout votre temps pour passer à l’installation des vers. Pensez à l’arroser !
Faut-il rempoter ma plante ?
Pas nécessairement car le pot est alimenté en continu en nutriments. En revanche, après plusieurs années et suivant l’évolution de votre plantes, elle aura peut-être besoin d’un plus grand pot. Aussi, si vous avez installé des plantes annuelles (les potagères, certaines aromatiques…), il vous faudra de toutes façons les retirer lorsqu’elles seront fanées. Bien-sûr vous pouvez laisser la terre au repos le temps de trouver autre chose, ou attendre la période des semis pour recommencer.
Au secours !
Mon pot est arrivé abîmé ou cassé, que faire ?
Prenez contact avec nous au plus vite à l’adresse contact@lestransfarmers.com.
Je n’arrive pas à me débarrasser des moucherons
Vous perdez patience. Les moucherons se sont reproduits de façon exponentielle et vous n’avez ni le temps ni l’envie de vous en occuper.
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- Recouvrez copieusement votre terreau de paillis (exemple paillis de chanvre de litière pour rongeurs)
- Couvrez de carton, arrêtez de l’alimenter,
- placez des pièges : pièges à glu jaune côté plante et dans le composteur, pièges à vinaigre à proximité de vos fenêtres et de vos fruits.
- Aspirez en ouvrant les bouchons de temps en temps.
- Si vous en avez la possibilité, mettez votre pot en extérieur et ils vous dérangeront beaucoup moins ! Les moucherons ne nuisent pas au fonctionnement du composteur. Cela vous permettra de ne pas vous en préoccuper pendant un moment, et selon le temps que vous avez devant vous, vous pouvez continuer à alimenter votre pot en n’oubliant surtout pas de recouvrir de carton à chaque apport. Si vous devez le rentrer bientôt, couvrez de carton et arrêtez de l’alimenter quelques temps, jusqu’à ce qu’il n’y ait plus de moucherons.
Ma plante va mal !
C’est le moment ou jamais d’apprendre ! Impossible de vous donner des conseils spécifiques ici car nous ne savons pas quelle plante a élu domicile dans votre pot. Il convient de vérifier les besoins de votre plante, sur internet par exemple. Si vous ne voyez pas quoi faire de plus et que la situation s’aggrave, sachez que nul ne peut tout maîtriser, et que la mort fait partie de la vie. Si elle finit par passer l’arme à gauche, recueillez-vous et ne vous laissez pas abattre. Installez-en une nouvelle en suivant nos recommandations dans le guide.
Si vous avez peur de ne pas maitriser l’arrosage en ne sachant pas si le compost est suffisant, nous vous conseillons vivement d’installer un diffuseur d’eau / olla en terre cuite à côté d’elle. Ainsi, vous n’aurez qu’à veiller à ce qu’elle ait toujours de l’eau et vous serez assuré.e que l’arrosage est équilibré.
Mes vers s‘échappent !
Cela est très rare dans notre système car les possibilités de sortie sont très limitées voire nulles ET avec les vers de compost Eisenia fetida que nous livrons qui sont plutôt casaniers. Il peut arriver que quelques vers s’échappent exceptionnellement sans que cela ne déstabilise le fonctionnement du composteur. Si vous les retrouvez vivants remettez les vite dans le composteur car ils ne peuvent pas vivre en dehors plus de quelques minutes, ils ont besoin d’humidité et se dessèchent très rapidement : c’est pour cela que vous les retrouverez dans un périmètre de 30cm autour du pot au plus loin, et certainement pas sous votre oreiller 😀
2 pistes pour expliquer une fuite potentielle :
- si les vers ne viennent pas de chez Transfarmers, il est possible qu’il ne s’agisse pas de la bonne espèce (certaines sont plus fugitives que d’autres). Dans ce cas, le phénomène est souvent passager et ne concerne qu’un petit nombre d’individus (en effet il y en a environ 500 au départ donc la perte de 10 ou 20 vers a peu d’impact sur la population générale.)
- si les vers sont bien les bons, cela peut être le signe d’un déséquilibre qui les pousse à fuir. Vous les retrouverez autour du pot, probablement tous secs car ils ne peuvent pas aller loin en dehors d’un milieu humide (pas toujours évident à identifier). À ce moment là, il suffit d’observer si le phénomène persiste et
vérifier l’état de son compost, le remuer doucement au besoin, ajouter de la matière sèche si trop humide ou l’arroser si trop sec.
Mon composteur a l‘air trop sec / humide
Si vous mettez beaucoup de matière sèche, il se peut que votre compost soit trop sec, ce qui peut être problématique à la fois pour la plante et pour les vers. Si tel est le cas, vous pouvez arroser la plante et l‘humidité se répartira dans l‘ensemble du pot. Vérifiez régulièrement et renouvelez l’opération au besoin. L’apparition de fourmis dans un compost pourrait être un signe que le milieu est trop sec.
À l’inverse, et plus fréquemment, votre compost peut être trop humide si vous ne mettez pas assez de matière sèche. Un compost trop humide se reconnait facilement (plus «gluant», moins structuré et plus malodorant). Ajoutez une bonne quantité de papier / carton déchiqueté pour équilibrer tout cela.
Mon composteur sent mauvais
Il souffre peut être d‘un problème évoqué précédemment : présence d’un déchet indésirable, trop d’humidité… Essayez de trouver son origine et d‘agir en conséquence. Si la situation ne s‘améliore pas, n‘hésitez pas à nous contacter.
J‘ai un problème et je ne trouve pas la réponse ici !
Vous pouvez nous poser vos questions ici contact@lestransfarmers.com
Commandes et livraisons
La livraison des pots de fleurs composteur est effectuée par Chronopost. Nous vous recommandons de bien vérifier vos informations (adresse postale, adresse e-mail et numéro de téléphone) afin de bien recevoir les notifications. Nous avons étudié l’emballage afin de protéger au mieux le pot lors de son transport mais ce dernier étant fragile, il est préférable de pouvoir le réceptionner du premier coup afin de lui éviter des transports inutiles.
Lors de l’expédition, un numéro de suivi est communiqué et offre la possibilité de choisir différents créneaux de livraison ou d’ajouter une information.
Avant d’accepter le colis, il est important de vérifier dans la mesure du possible son état (si le paquet fait un bruit de vaisselle cassée, ce n’est pas normal).
Les vers sont livrés à part, directement par notre éleveur partenaire. Si les vers sont commandés dans un pack pot + vers, ils ne seront expédiés que sur demande grâce à un code promo utilisable sur le site afin de laisser le temps à l’utilisateur de mettre en route son pot (compter 5 à 7 jours de délai de livraison).
Pour tout problème ou demande de renseignement écrivez-nous à contact@lestransfarmers.com
Les bonnes pratiques
Qu’ai-je le droit de mettre ou non dans mon pot ?
De façon générale, on ne dépose que des déchets d’origine végétale.
Vous pouvez jeter toutes vos épluchures, trognons, chutes de fruits et légumes crus, sachets de thé, marc de café en évitant :
- les agrumes
- l’ail et l’oignon, ainsi que le poireau
Vous pouvez découper en petit morceaux les épluchures les plus épaisses, ainsi elles seront mieux assimilées. En revanche, nous ne recommandons pas de mixer les épluchures car cela ferait une bouillie qui libèrerait trop d’eau trop vite.
On évite d’ajouter du pain ou des produits cuits ou assaisonnés car cela peut créer des nuisances.
Pour un bon équilibre et un compost réussi, il est primordial d’ajouter de la matière sèche régulièrement, idéalement à chaque apport et découpé en petits morceaux :
- rouleaux de PQ
- mouchoirs, papier usagés / sopalin
- carton ondulé (cartons de transport)
- carton alimentaire
Éventuellement, on peut brasser le compost de temps en temps à l’aide d’un grand bâton pour l’aérer et répartir la matière sèche. Cette opération est nécessaire si le compost est devenu trop humide et odorant : on ajoute une bonne quantité de carton et on brasse.
Enfin, si vous consommez des œufs, vous pouvez laisser sécher les coquilles dans un récipient réservé à cet effet puis les réduire en poudre avant de les donner à vos vers : ils en raffolent et le compost n’en sera que meilleur. Cela équilibre le PH de votre compost.
Quelle quantité de déchets puis-je mettre dans le composteur ?
À plein régime, on peut y jeter 1,5 à 2 litres de déchets par semaine. Bien-sûr, les experts pourront améliorer le rendement en découpant tout en petit morceaux ou en récoltant le compost plus souvent par exemple.
Je pars en vacances, que faire ?
Faites seulement en sorte que le pot soit un minimum rempli d’épluchures, dans un endroit qui ne risque pas la canicule ni le grand froid (autant pour votre plante que pour vos vers). Vous pouvez partir tranquillement 4 à 5 semaines. Si vous avez une plante qui nécessite un arrosage régulier, pensez à installer une olla dans votre pot !
Entretien et vie du pot de fleurs composteur
Comment nettoyer mon pot ?
Votre pot en activité va se métamorphoser au cours du temps. Des motifs vont apparaître, sa couleur va changer, évoluer. Si une partie de ces empreintes restera à jamais, il est possible de nettoyer l’extérieur régulièrement du pot pour en prendre soin, et éviter les accumulations de sels minéraux qui peuvent abimer la terre cuite en cristallisant.
Les pots sont traités à l’huile de lin par nos soins, afin de protéger la terre cuite et ralentir les apparitions de salpêtre et de blanchiment. Ce traitement peut être appliqué à nouveau selon le souhait de son utilisateur 1 à 2 fois par an (appliquer un peu d’huile sur le chiffon sec et frotter toute la surface de la terre cuite). L’huile de lin est un produit naturel facile à trouver dans le commerce.
Pour un entretien régulier : à sec, utilisez un chiffon pour frotter gentiment sa surface et enlever les particules (terre, poussières, salpêtre) qui s’y déposent. Utilisez ensuite un vaporisateur pour arroser généreusement d’eau (avec un peu de vinaigre d’alcool dilué en option) régulièrement sur la surface de la terre cuite avant d’essuyer à nouveau.
Pour les marques d’origine extérieure plus coriaces (l’enfant qui a dessiné dessus, la trace de chaussure de celui qui a négligemment buté dedans), mouillez un torchon et frottez avec en option un peu de vinaigre blanc.
Si rien ne marche et que vous aggravez les tâches plus que vous ne les effacez, apprenez à relativiser : ce n’est pas grave, c’est la vie, et c’est ce qui vous rend unique comme votre pot.
Comment éviter les moucherons
Plusieurs types de moucherons sont susceptibles de vous gêner, dont voici les trois principaux :
Les sciarides (ou mouches du terreau) : petites mouchettes noires qui volettent souvent autour des plantes d’intérieur. Elles aiment pondre dans le terreau humide.
Les drosophiles (mouches à fruit, mouches du vinaigre) : petites mouches orangées aux yeux rouges avec de bons réflexes. Elles sont attirées par les matières sucrées qui fermentent pour y pondre.
Les psychodidae (mouches des éviers) : Moins communes, elles aiment bien les canalisations. Difficile de les rater avec leur allure de Batman !
Leur objectif est de conquérir le monde et leur méthode est toujours la même : faire des enfants qui feront des enfants qui feront des enfants. De génération en génération, leur vie se résume à pondre, manger et se reproduire.
Les moucherons commencent leur existence dans des œufs qui se transforment en minuscules larves et se nourrissent de matières en décomposition. Elles se transforment ensuite en moucherons adultes prêts à se reproduire. Après avoir pondu, ils meurent rapidement pour laisser place à la nouvelle génération. En plus d’être rapide, leur cycle est très prolifique (un adulte pond entre 50 et 300 œufs).
Comment les éviter ?
Si des moucherons apparaissent dans votre composteur, c’est certainement que des œufs y ont été introduits avec les déchets que vous y avez jetés.
La première des mesures préventives revient donc à éviter d’introduire des œufs de moucherons (quasi invisibles) ou des moucherons dans le composteur.
Pour cela :
- Laisser les bouchons du composteur fermés.
- Couvrir ou ranger vos fruits et légumes pour éviter qu’un moucheron ne ponde sur sa peau (cloche à fruit / placard aéré ou garde-manger / frigo…)
- Ne pas laisser traîner vos déchets compostables après avoir cuisiné et les mettre rapidement au composteur.
- Si vous utilisez un récipient de stockage intermédiaire dans votre cuisine, assurez vous qu’il soit «mouche-proof» mais pas complètement hermétique sinon les déchets risqueraient de pré-fermenter. Couvrez d’une gaze ou d’un torchon par exemple.
- Mettre du carton découpé ou du papier après chaque apport de déchets. Cela équilibre le compost et gène la mouchette qui souhaiterait accéder aux déchets.
Soyez alerte à tout signe de battement d’ailes. Appliquez les précédents conseils pour éviter l’escalade et l’invasion.
Votre terreau côté plante devient intéressant pour les sciarides s’il est humide en surface. N’hésitez pas à garder cette surface sèche pendant longtemps dès les premiers signes de mouchettes. Le pot de fleurs composteur peut largement se passer d’arrosage pendant plusieurs semaines.
Comment s’en débarrasser ?
Ce qui pourrait apparaitre comme une petite attaque peut dégénérer en quelques jours, passant de 3 moucherons à des centaines. Il est donc important de se préparer en amont, au cas où.
Préparez-vous mentalement à ne pas pouvoir utiliser votre composteur pendant quelques semaines, le temps de contenir l’invasion.
Munissez-vous des outils indispensables proposés dans les lignes qui suivent.
Une fois l’offensive lancée, il faut tendre des pièges à votre adversaire et bloquer son cycle naturel. Deux actions cumulées donnent de bons résultats, empêcher les moucherons de pondre et les supprimer. Pour cela voici nos conseils :
- Former une barrière physique
Recouvrez les déchets de papier/carton en petits morceaux ou bien de litière type copeaux de bois ou chanvre sur 10 cm.
- Pailler le terreau de votre plante (la litière de copeaux ou de chanvre est parfaite)
- Placer des pièges
Le piège le plus efficace pour les moucherons du fruit consiste à remplir le tiers d’un verre de vinaigre de cidre mélangé avec une goutte de produit vaisselle ou de savon. À disposer en différents endroits stratégiques comme la cuisine, à proximité du composteur ou même à poser dedans (attention à ne pas le verser, ce qui pourrait avoir l’effet inverse en attirant les moucherons).
L’autre piège pour prévenir les moucherons de type sciaride est le piège à glu autocollant jaune. À placer dans le composteur, du côté de la plante et où bon vous semble sans attendre dès la moindre apparition. Il permettra d’attraper les adultes et ainsi éviter qu’ils ne viennent se multiplier dans le composteur.
- Évacuer les moucherons du composteur
Opération à répéter régulièrement : moins il y aura de moucherons, moins ils se reproduiront.En intérieur, munissez-vous de votre aspirateur, ouvrez et aspirez les moucherons qui en sortent.En extérieur, vous pouvez simplement les évacuer en ouvrant régulièrement le bouchon pour les laisser sortir – cette méthode est cruelty free 😉
- Ne plus alimenter le composteur pendant au moins 3 semaines.
Dans tous les cas soyez patients et répétez l’opération d’évacuation jusqu’à ce que plus aucun moucheron ne s’en échappe, voire un peu plus. À ce moment là vous pourrez réutiliser la partie composteur de votre pot en faisant toujours bien attention de mettre une couche de papier / carton après chaque apport.
Fabrication du pot de fleurs composteur
Comment, où sont fabriqués et assemblés les pots ?
Les pots sont fabriqués en terre cuite naturelle prélevée en France dans un atelier près de Troyes. La terre est coulée dans un moule, la pièce extraite doit ensuite sécher plusieurs jours avant d’être cuite au four. Ensuite, nous appliquons un traitement d’huile de lin sur chaque pot afin de protéger la terre cuite.
Les bouchons sont fabriqués en liège dans une usine au Portugal, rainurés par nous-mêmes à Montpellier afin de pouvoir y adapter un joint silicone fabriqué en France.
La paroi intérieure est fabriquée en France à partir de chutes de plastique industriel. Les couleurs peuvent varier selon les mélanges 🙂
La coupelle est également fabriquée en France à partir de papier recouvert d’une fine couche de mélamine pour l’étanchéité.
Le guide, illustré par Chloé Kast est imprimé en France sur du papier recyclé avec des encres végétales.
Le tout est assemblé puis expédié par nos soins depuis Montpellier !